En attendant… Douzième jour magique. À la recherche d’un cadeau unique

J’aime beaucoup d’être étonnée, j’aime beaucoup entrer et dire « Oh! Je n’ai pas encore vue ça », j’aime regarder et me demander, mais comment on fait ça? Bref! Si vous êtes comme moi, on se croise surement  au



Salon des métiers d’art chaque année.

J’ai beaucoup aimé la présentation de cette année. Ils ont décoré des tables avec les produits des artistes. Génial pour s’inspirer,  pour trouver le cadeau qu’il nous faut ou pour nous donner une idée pour les fêtes à venir.

 

 

 

 

 

Voici mes coups de cœurs cette année avec mes histoires imaginaires.

Des bijoux-sculptures d’Anne-Marie Chagnon. Quelle imagination! J’ai l’impression que derrière chaque création il y a une histoire : d’amour, de rencontre, de peine, de bonheur, peu importe, mais surement inoubliable.

 

 

La céramique de Mariejosée Desjean. Les objets aux formes imparfaites sont tout à fait adorables. J’imagine un monde de lutins de Noël qui après avoir emballés tous les cadeaux, placent leurs étoiles colorées sur des sapins imaginaires, allumes les chandelles parfumées de cannelle et commencent à inventer les nouvelles formes pour le lendemain.

 

Les bijoux modulables de Sandrine Giraud. Oh, ça… J’adore  ses bracelets. Je les porte à l’année en changeant une forme selon mon humeur ou mon habit. En les portant, j’ai presque inventé une nouvelle langue des signes qui est un peu mystérieuse pour ma famille : portée comme ça… Oh,là, là,.. maman n’a pas une journée facile; portée ainsi, Oh., chérie, c’était une belle journée, n’est-ce pas?!

 

 

 

Des coffres à bijoux stylisées d’André Dorais.  Pour moi c’est le monde d’Alice aux pays des merveilles. Je sais que là-bas chaque personnage a un coffre comme ça. Chez Alice ce coffre se place devant une grande portière cachant l’entrée dans ce monde merveilleux. Le Lapin Blanc doit garder dans ce coffre sa montre avec une grande chaine. Les Reines cachent surement pleins de secrets dans ces coffres. Et le Chapelier ira probablement chercher dans un des tiroirs son nœud papillon sans lequel il ne serait pas être présentable pour chanter pour la Reine de cœur.

 

 

Jeu de bois de NicoNico (Nicolas LeBlanc). Ici je me vois dans un film d’enfance ou pour aller sauver des amis il fallait dire le mot de passe secret  aux gardes de la forteresse. Ici, les paroles ne suffiront pas. Il faudra jouer la partie avec les gardes et gagner. Facile, dites-vous. Pas nécessairement. La toupie (jeu inventé par Nicolas LeBlanc) pourrait bien nous jouer de vilains tours. Mais d’un autre coté il est très attirant.

 

 

Sculptures de Ennovy (Yvonne Barreau-Fein). Ses créatures, on peut admirer sans fin en trouvant toujours un autre petit détail créatif qu’on n’a pas remarqué auparavant. Ce monde imaginaire, où chaque figurine semble vivre sa propre vie, peut vous raconter plus d’histoires que Shecheresade dans Mille et une nuit. En plus, on le sait, l’imagination n’a pas de limites. Génial.

 

 

Et voilà.

Chaque fois que je visite ce Salon je tire mon chapeau devant tous ces incroyables artistes qui créent leurs œuvres. Je voudrais bien de vous parler de chacun. Peut-être un jour…